l’Opalite/opaline
L’opaline, on l’a trouve un peu partout sur le marché sous cette forme d’ « opale ». Sachez que ce n’est tout simplement pas une pierre naturelle, surtout si le prix est dérisoire.
C’est souvent du verre traité chimiquement, soit de la résine teintée pour ressembler à de la vraie opale blanche fabriqué par l’homme en laboratoire.
A ne pas confondre avec la péristérite, une variété d’albite qui fait partie des feldspaths au même titre que la labradorite où j’en parle dans cet article.
L’opale blanche
Les vraies opales blanches ou noires proviennent de mines d’Australie comme l’Opale Boulder, de Mexique, de Brésil, d’Éthiopie ou des USA.
Leur système cristallin est dit amorphe. Cela veux dire que l’on ne trouve pas de cristaux à proprement paler, mais plutôt des agrégats en grappe.
Il existe donc plusieurs sortes d’opales communément admise dans la classification minéralogique comme commune, hydophane, noble et opale de feu.
Celle qui nous interessent aujourd’hui est l’opale blanche, la noble :
L’opale blanche d’Éthiopie est opaque que l’on nomme opale Welo. Elle a des feux vert, bleu ou même rouge qui au contact de l’eau devient transparente. Les minéralogistes l’appelle opale hydrophane.
L’Opale noire quand à ce minéral, a un fond bleu intense avec des irisations plus prononcés. Toutefois, elle aussi, les hommes tranforme une opale blanche en noire ( plus cher à la revente).
Un procéssus en laboratoire la chauffe pour que le devant devienne foncé.
Le seul moyen de la différenciée, l’arrière est resté blanc.
Elle est très rare, onéreuse et apprécié des collectionneurs.
Pour pouvoir vendre au prix fort cette sorte d’opale, on chauffe une vraie opale pour qu’elle devienne noire; La seule façon de la différenciée de la vraie, le dos est resté blanc/écru.
Conclusion sur l’opale blanche
Elle est assez reconnaissable de par sa transparence, ses différents feux et surtout son prix.
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